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Les épaves de la Grande Guerre en Méditerranée

François BRUN et Jean-Pierre JONCHERAY et Claude ROQUELAURE


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Jean-Pierre Joncheray est un vieil habitué des éditions GAP.
Nous lui devons la longue série des épaves :
- 50 épaves en Corse, édité en 2002, puis, en suite régulière :
- 80 épaves à Marseille et dans sa région,
- 100 épaves en Côte d'Azur, de La Ciotat à Saint-Tropez,
- 100 épaves en Côte d'Azur, Monaco, Riviera du Ponant,
à laquelle il a déjà rajouté L'aventure du sous-marin Alose, ce submersible qu'il a découvert en 1975, et maintenant classé Monument Historique.
En même temps, couronnement de sa longue carrière d'archéologue sousmarin, Jean-Pierre « inventait » en quelque sorte ce qu'il convient de nommer l'archéologie de la vapeur, une application innovante des méthodes de l'archéologie sous-marine aux épaves contemporaines, des navires à vapeur aux avions. Car, avant lui et ses premiers « naufrages en Provence », qui datent du début des années 1980, n'étaient nobles, et considérées, que les études de gisements antiques, étrusques, grecs ou romains.

Dans la foulée, notre auteur préféré s'est attaqué à un sujet qui, il faut l'admettre, est d'actualité : la guerre de 1914-1918, autrement dite « Grande Guerre ». À vrai dire, Jean-Pierre n'avait pas attendu cette commémoration pour amasser, année après année, depuis plus de quarante ans, une importante documentation sur les aspects maritimes et méditerranéens du conflit. Il avait visité toutes les épaves se rattachant à cette période, s'entourant des meilleurs photographes sousmarins,et consulté les plus éminents spécialistes du sujet.
L'appel aux plongeurs « tek », ces nouveaux explorateurs des grandes profondeurs, fut souvent nécessaire. Avec François Brun et Claude Roquelaure, les coauteurs, l'exhaustivité s'est réalisée jusqu'aux frontières de notre façade méditerranéenne.

Le résultat est là : dix-sept bâtiments perdus, plus de dix épaves visitées au sein des eaux, leur histoire avant le funeste jour de leur naufrage, les circonstances de leur perte, et la description de leurs vestiges, quand ceux-ci étaient accessibles.
La qualité de cet ouvrage semble établie si l'on en savoure la préface, sous la signature prestigieuse du Directeur du Département des Recherches Archéologiques Subaquatiques et Sous-Marines, Michel L'Hour.